jeudi 28 juillet 2022

conclusion re monster sous forme de fanfiction

 jour 336 : 

Il y a des soucis préoccupants sur le site où je me fournissais en VA de re monster. Je suis en quelque sorte bloqué par les circonstances.  Comme lot de consolation voici trois chapitres d’une fanfiction re : monster. Il y a des avantages à lire cette fanfic qui apporte une conclusion à re monster. Je ne pense pas qu’une équipe de traduction arrive d’ici moins de 10 à 20 ans à finir de traduire re monster. C’est une œuvre de qualité, et une vraie poule aux œufs d’or pour un auteur qui a plein d’idées. Donc à moins d’un imprévu grave, l’œuvre va continuer encore très longtemps. Et les équipes françaises de traduction capables de traduire complètement sans sourciller 500 chapitres c’est rare. Alors j’ai décidé d’opter pour une solution alternative. Si quelqu’un veut reprendre la traduction de re : monster à partir du chapitre 320, il a ma bénédiction totale.

Le jour désigné de la guerre sainte, rien ne changea par rapport à d'habitude lorsque le soleil qui brillait sur le monde se leva.

Quant aux choses qui ajoutent au jour, j'envoie deux clowns démons comme messagers.

J'y ai mis un maquillage bizarre qui ressemble à un visage blanc avec un gros nez rouge, comme un diable dodu dans une tenue qui est décorée avec des rabats d'ailes excessifs sur son dos. Ils volent vers les armées ennemies. Les deux ont été abattus sans aucune discussion préalable. Apparemment, il semblait qu'ils étaient considérés comme une attaque de l'ennemi.

Je suppose que leur capacité à faire face était trop rapide, mais si je ne pense pas autrement, j'étais convaincu qu'on ne peut pas les aider quand ils rencontrent des conditions aussi inconnues.

J'ai envoyé et donné au deuxième groupe de [clowns] un drapeau blanc car les circonstances ne peuvent être améliorées, et il n'a donc pas été attaqué cette fois.

Trop de choses s'additionnent, les clowns ont dit ;

Mon maître qui est choisi comme ennemi du monde, vous attend dans la partie la plus profonde de la montagne. Des épreuves difficiles vous attendent à l'intérieur.

 

Quoi qu'il en soit, les 2 camps qui ont entendu l'histoire ont immédiatement commencé l'invasion au petit matin.

Bien que le nombre total de non-combattants diminue au fur et à mesure qu'ils se retirent, il y en a quand même beaucoup.

 

 

Eh bien alors, bien que les deux côtés du camp envahissent d'avant en arrière, la chaleur est quand même devenue un problème dans la montagne du feu sacré après tout.

Si l'on ne prend pas certaines mesures, ils mourront sans même passer quelques minutes car le corps brûle.

 

Il est possible de l'empêcher dans une certaine mesure, avec un objet spécial, comme on pouvait s'y attendre c'est le destin.

En dehors des armées alliées d'élite, il est difficile de l'organiser pour tous les membres des forces alliées avec leur capacité. Si je pense à inclure leurs réserves et ainsi de suite, ce serait comme plusieurs fois leur nombre de personnes.

Une telle bagatelle, car un manque de préparation deviendrait fatal dans l'environnement sévère de la montagne, personne ne devrait jamais l'ignorer.

Cependant, les forces alliées ont une méthode différente pour y faire face - une potion magique en grande quantité-- comme assurance -- ils semblent distribuer la potion magique à tous les membres découragés -- pour régler le problème.

 

De plus le héros de la voix grâce à ses chants, et le héros de la danse au moyen de performance mystique aident à résister à la fournaise. Mais ses adversaires sont beaucoup trop confiants, ils s’attendent à un combat loyal. Quelques embuscades surprises avec l’appui de puissants subordonnés signifient la mort par la lance, l’épée, ou même le fusil pour des héros et des généraux adverses. Et sans le soutien de puissantes capacités surnaturelles les troupes ennemis régulières meurent à grande vitesse à cause de la lave, ou de la chaleur infernale.

           Mes compagnons d’armes se battent activement, mais je compte aussi beaucoup sur les squelettes et les zombies rappelant des cadavres d’hommes pour l’emporter. Je peux en invoquer chaque jour des milliers avec une force suffisante individuellement pour écraser facilement un guerrier humain moyen. Et puis je n’ai pas à me soucier de leur équipement, la magie c’est formidable. Certes les morts-vivants ont des armes et des armures de qualité inférieure à celle de mes officiers subordonnés. Mais ils n’ont pas non plus des outils de mort nuls ou rouillés, les épées des squelettes ont un bon tranchant, et leur armure de métal noir peuvent encaisser des coups puissants et rester fonctionnelles. L’équipement des zombies est plus disparate, il y a des épées, mais aussi des haches, lances ou couteaux. La terreur suscitée habituellement par les morts-vivants ne fait pas reculer grand-monde chez les ennemis. Ils ont quelques défections à cause de la peur, mais le gros des troupes choisit de rester fidèle au combat. Grâce à un mélange de menace et d’appel à la cause juste, les troupes humaines sont assez galvanisées pour résister globalement à l’envie de fuir. Quant aux hommes-bêtes et aux subordonnés de l’empereur-démon, ils sont tellement habitués à guerroyer contre des créatures effrayantes, qu’il faut bien plus que des morts-vivants pour leur faire peur.

          Toutefois les effectifs ennemis fondent littéralement. J’ai affaire à des antagonistes très zélés, mais bon une embuscade reste une embuscade. Et les adversaires ont été confrontés à plus de cinquante fois à des pièges en pénétrant dans la montagne.  Une fois un groupe a été noyé sous la lave, une autre un bataillon a dû affronter des morts-vivants trois fois plus nombreux, à un moment des troupes de Parabellum ont surgi et attaquer par devant, derrière et sur les côtés. J’ai ordonné à des dizaines de reprises des manœuvres très variées pour bien mettre la pression sur l’ennemi. J’ai envie de participer aux combats, mais d’abord il faut bien entamer le nombre d’antagonistes et réduire leur moral. Je peux voir ce qui se passe dans le donjon depuis plusieurs points de vue grâce à mes clones, et des capacités de détection. En prime je peux en échange d’un certain niveau de fatigue modifier la configuration du terrain de manière instantanée.

          Par exemple j’ai poussé un groupe d’infanterie lourde à charger des archers alliés, mais brutalement j’ai fait surgir une grosse colline de terre dure sous les manieurs d’arcs. Cela a bien décontenancé l’ennemi, permettant à une volée de flèches de tuer plusieurs dizaines d’assaillants. Les adversaires par fanatisme ou stupidité ou envie d’en découdre, ont entrepris d’escalader la colline à pied en promettant d’embrocher les archers sur leur épée. Ils ont eu le droit à un traitement très mortel, en plus des flèches des trous profonds de trois à cinq mètres sont apparus sous eux. Ainsi ce qui ressemblait à une charge facile a tourné au grand carnage chez l’infanterie adverse. Cinq cents épéistes vétérans n’ont pas survécu à une confrontation contre deux cents archers. Il faut dire que je me suis arrangé pour que le terrain soit rempli de traquenards cette fois.

             Je n’interviens pas toujours pour épauler des compagnons, déjà modifier par magie le terrain ou activer des pièges au moyen d’une capacité drainent mes forces. Et puis certains camarades préfèrent de loin se débrouiller le plus possible par leurs propres moyens. Ils suivent quand même mes instructions, mais ils ont aussi un fort penchant pour le duel le plus honorable possible. Celui qui compte le plus sur sa puissance individuelle pour gagner est sans conteste Minokichi. Je devrais peut-être le rappeler à l’ordre sévèrement. Et puis non il obtient par lui-même de très bons résultats, il a dû écraser à coup de hache ou avec ses charges mortelles plus de mille ennemis. Quand je dis écraser, il faut le prendre au sens propre. Ses centaines de kilos alliés à sa force démente engendrent un vrai massacreur, qui réduit à l’état de bouillie de chair les troupes qui ne sont pas au niveau d’un héros.

 

Mais il est trop tôt pour crier victoire, tant que l’adversaire aura de puissantes troupes d’élite, Parabellum sera en grave danger. Dans ce monde une personne très forte bénéficiant de certaines capacités peut faire plus de dommages qu’une armée de 10 000 hommes.

Bonus pour chaque héros ou personne d’une force équivalente qui tombe dans la montagne, je peux acquérir leur équipement, même sans être près d’eux. J'ai une compétence spéciale qui me permet de déplacer le butin d'un bout à l'autre du donjon.

 


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